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Le blog de français à Magisterio pour les étudiants de Musique 2006 / 2007
18 janvier 2007

VOCABULARIO Y PRESENTACION (Antonio Villa Pellicer)

Salut, je m'apelle Antoine Villa, je suis né il y a vingt-quatre ans dans une ville au nord de l'Espagne, Santander. Maintenant je vis à Oviedo parce que j'étudie à l'École de Maîtres de l'Université d'Oviedo. J'aime jouer de la guitare et surtout j'aime la musique, le cinéma et sortir avec mes amis. La langue française me plaît parce qu'elle est très romantique mais c'est difficile pour moi de parler bien.

Ma famille

Ma famille vit à Santander. Mon père et mon une mère sont Pierre et Carmen.
Mon père est chauffagiste et ma mère est secrétairerie.
J'ai aussi deux frères plus petits. Ils sont Pierre et Natalia. Je suis le plus grand des trois, je suis l'aînée.

- Vocabulaire:

Motet (Motete):

Plusieurs acceptions qui se sont peu à peu fondues en une seule, ont été données à ce terme depuis-le moyen âge. A l'époque des premiers essais de contrepoint (XIIe-XIIIe s.), le motet est une petite chanson (Motetus, Motellus, petit mot, petite pièce de poésie) en langue vulgaire et en un seul couplet, que les déchanteurs superposent à un « ténor » latin, emprunté au répertoire liturgique et principalement aux répons du graduel, et auquel ils associent une troisième et quelquefois une quatrième partie harmonique, également formée de quelque chanson vulgaire. La périodicité d'un rythme régulièrement ternaire marque les points d'appui des diverses parties et les coïncidences des consonances parfaites. Le motet, placé à la voix supérieure, donna bientôt son nom à la composition tout entière.

Cantate (Cantata):

Composition à une ou plusieurs voix, avec accompagnement, destinée à la chambre, au concert ou à l’église. Elle succéda en Italie au madrigal.

Oratorio (Oratorio):

C'est en effet pour la réunion pieuse des confrères de l'Oratoire, à Rome, illustrée déjà par Animuccia et Fr. Soto qui l'avaient enrichie de leurs laudi spirituali, par G. P. da Palestrina, qui écrivit dans le même esprit ses madrigaux spirituels, que Emilio de Cavalieri, vers la fin du XVIe s., écrivit sa Rappresentazione di Anima e di Corpo, qui y fut jouée en février 1600.

Mélodie (Melodía):

Succession de sons ordonnée de manière à présenter un sens musical qui satisfasse l'oreille et l'intelligence. En impliquant dans sa définition l'obligation d'être « agréable», l'Académie a sanctionné l'opinion vulgaire, d'après laquelle toute mélodie, pour mériter son nom, doit charmer les sens. C'est, en effet, par l'empire qu'exerce parfois instantanément sur notre âme une belle mélodie, que se manifeste le pouvoir mystérieux des sons.

Berceuse (Canción de cuna):

Chanson destinée bercer, à endormir les enfants. C’est une des formes primitives du chant populaire, qu’on trouve à toutes les époques et chez tous les peuples, réduite souvent à quelques douces et monotones inflexions vocales, sur une très simple invocation au sommeil.

Sérénade (Serenata):

Pièce instrumentale légère et piquante. Les nuits d'été, à Venise, au XVIIe s., retentissaient de sérénades. Il ne se passait guère de soirées que l'on n'en entendît. « Quelques gentilshommes ou particuliers » prenaient place dans une péote, ou gondole, avec un clavecin, un ou deux théorbes, plusieurs violons et basses de viole, et parcouraient le grand canal jusqu'à deux heures après minuit, s'arrêtant devant les palais de leur connaissance pour donner des sérénades ou pour répondre aux concerts de péotes semblables ; à leur imitation, les « garçons de boutique » et les artisans, jouant des hautbois, flageolets, flûtes douces, guitares et chantant « des airs dolents », faisaient une musique nocturne sous les fenêtres de leurs maîtresses.

Musique instrumentale (Música instrumental):

Déjà au XIe s. la musique instrumentale était pratiquée en dehors de la danse. Un peu plus tard, le roman du Chevalier à l'Espée rapporte les concerts donnés après les festins, où se font entendre la vièle, la flûte, la chalemie et dans lesquels la voix est accompagnée de la lire ou de la rote. Le nombre des types d'instruments différents est une des caractéristiques du moyen âge; les poètes se plaisaient à en donner de longues énumérations (qu'il ne faut pas prendre à la lettre). Les ménestrels forment les premiers orchestres; ils se divisent par groupes et de bonne heure par groupes spécialisés. A la cour du roi Charles V (1364-1380) fonctionnent des joueurs de « bas instruments » jouant à la fin des repas royaux « si doulcement jouez comme la musique peut mesurer son ».

Prélude (Preludio):

Pièce de musique instrumentale exécutée avant une œuvre, avant une représentation ou une cérémonie. Les clavecinistes des XVIIe et XVIIIe s., Louis Couperin, Rameau, ont écrit nombre de préludes non mesurés et qui consistent en arpèges, dont le mouvement général et le mouvement de chaque groupe ou dessin sont laissés à la fantaisie de l'interprète. C'était une tradition héritée du luth, et qui se maintint aussi chez Bach. Les ritournelles d'orchestre portent le nom de prélude dans les opéras français des XVIIe et XVIIIe s. Les préludes composés pour l'orgue et destinés à précéder les pièces de chant liturgique sont soumis à l'obligation de se relier à ces pièces par leur modalité.

Fugue (Preludio):

Forme de composition à plusieurs parties, entièrement basée sur le principe de l'imitation et dans laquelle un thème principal du sujet, et un ou plusieurs thèmes secondaires, ou contre-sujets, semblent fuir sans cesse de voix en voix. La fugue est issue du canon, qui portait en effet, à l'originelle titre de fuga, et qui, par le résultat d'une longue préparation historique à laquelle ont surtout efficacement contribué les grands organistes du XVIIe s., à été transformé et organisé en un style plus riche, dont l'austérité même est un élément de beauté et qui comporte, sous la rigueur d'un plan général à peu près immuable, des possibilités d'invention illimitées.

Suite (Suite):

Série d'objets se succédant dans un certain ordre. En musique, ce nom désigne une succession de morceaux, tous du même ton, ordinairement apparentés aux airs ou aux mouvements de danses, qui fut en usage principalement aux XVIe, XVIIe et XVIIIe s. Cette ordonnance fut dictée par les coutumes de la danse (et non adoptée pour des raisons musicales), qui faisaient succéder aux XVe et XVIe s., à une danse marchée, d'allure modérée; en mesure binaire, une danse sautée, un peu plus rapide, en mesure ternaire; en Italie,le passe-mezzo suivi du saltarello ; en France, la pavane suivie de sa gaillarde, les 2 morceaux dans le même ton, et souvent sur le même thème ou un thème analogue. Le 4e livre de Tablature de luth (anonyme), publié par Petrucci (1508), ajoute à la pavana suivie du saltarello un 3e morceau appelé Piva.

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Commentaires
S
Peut etre que nous somme de la meme famille. Je suis aux Etats Unis. Ma famille est de Valencia et d'Almeria. Je suis un petit cousin de Jose Padilla, lecompositeur espagnol (Valencia...) Je suis parolier et j'ecris en Fancais, Espagnol et Anglais. Plus de mille poemes. Deuc de mes chasons sont sur disque, musique de Elsie Parker.<br /> Ecrivez moi a mon email. Gracias.
T
RÉVISION ET CORRECTIONS<br /> Bonjour, Antonio, je viens de lire et réviser tout ce que tu as posté sur le blog. C’est très bien. J’ai trouvé quelques petites fautes de frappe que j’ai corrigées. En ce qui concerne le Vocabulaire de Musique, tes définitions étaient parfois un peu trop longues. Donc je me suis permis de « couper » la longueur de quelques-unes. Et aussi parfois j’ai changé celle dont la définition n’était pas très claire. <br /> Je te suggère de lire le texte que je te propose et que tu peux lire dans le RÉTROLIEN (ici à côté) . Et si tu es d’accord pour les corrections, je t’invite à les poster à nouveau, avec les texte corrigé.<br /> Merci<br /> Ton Prof<br /> Juan<br /> ;-)))
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